WHITESNAKE en concert (2004) DVDRip XviD FRENCH Reloaded by GWAEDIN

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WHITESNAKE en concert (2004) DVDRip XviD FRENCH Reloaded by GWAEDIN (Size: 701.51 MB)
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Description

Ce post n'est pas de moi, il s'agit d'un "Reload" - Merci à l'Uploader d'origine

Audio : 10/10 - Vidéo : 9/10 un peu flou - poids 700 mégas



WHITESNAKE LIVE "In The Still Of The Night"

Une œuvre à côté de laquelle il ne faut pas passer car David Coverdale et ses compères sont des vrais bêtes de scène et l’ont aisément démontré sur ce DVD indispensable pour tout hard rocker digne de ce nom.



TRACK LIST :

1 - Burn

2 - Bad boys

3 - Love ain’t no stranger

4 - Ready an’ willing

5 - Is this love

6 - Give me all your love

7 - Judgement day

8 - Blues for Mylene

9 - Snake dance

10 - Crying in the rain part t1

11 - Drum solo

12 - Crying in the rain part 2

13 - Ain’t no love in the heart of the city

14 - Don’t break my heart again

15 - Fool for your loving

16 - Here I go again

17 - Take me with you

18 - Still of the night



CRITIQUE :

Article de « Black Hole » paru le 15 Avril 2007 sur le site suivant :



http://webzine.lesaccrosdumetal.com/2007/04/chronique-livein-still-night-dvd-whitesnake-black-hole.html
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« Live… In The Still Of The Night » est en quelque sorte le bilan de Whitesnake mais surtout de David Coverdale qui tenait à témoigner de 25 ans de carrière dans le hard rock. La réalisation de ce concert qui s’est déroulé à l’Hammersmith Apollo de Londres est sublime. Pas moins de 26 caméras sont en batterie ! Et le réalisateur s’en sert fort opportunément. Le truc sympa c’est d’avoir intercalé des images noir et blanc artificiellement vieillies qui donne un côté vintage à ce DVD qui sied parfaitement à la zike 70’s du serpent blanc. Ca démarre très fort avec un titre surprise : Burn extrait de l’album de Deep Purple du même nom. Et là ça fait plaisir de voir qu’un mec comme David, la cinquantaine bien trempée (56ans au garrot), a toujours autant la pèche. C’est bien simple, il n’a rien perdu de son sex-appeal et les déhanchements de sa taille qu’il a toujours aussi fine n’ont rien de ridicule.

Le groupe qui l’entoure est d’un excellent niveau et c’est également une des qualités de David d’avoir toujours su s’entourer de pointures. Jugez-en plutôt : un duo de gratteux hors pair avec Doug Aldrich (Dio) et Reb Beach (Alice Cooper), Tommy Aldridge (Ozzy Osbourne) aux caisses, Marco Mendoza à la basse pour l’aider aux chœurs et Timothy Drury aux claviers. Le combo intègre dans Burn un autre extrait de la période DP de David à savoir « Stormbringer » que l’on ne s’attend vraiment pas à voir figurer en break de Burn. Dès le début, les soli de Doug sont éblouissants et l’on retrouve les joutes gratte / Orgue Hammond qui ont fait la réputation de DP. Et c’est parti pour un enchaînement de morceaux très Rock (Bad Boys) ou groovy (Give Me All Your Love, Fool For Your Lovin’) pendant lesquels s’intercalent des ballades qui font mouche (Is This love, here I Go Again). Le maître des lieux est David Coverdale qui tient son public dans la main très facilement pendant tout le show. Une groupie lui offre des fleurs et il lui rétorque que l’important pour lui c’est d’imaginer qu’elle les a serrée contre ses seins : Quel dragueur ce David ! Les moments forts de ce concert sont situés dans « Ready an’ Willing » quand DC fait scander à son public « We’re Ready Here Cause We Have Satisfaction » sur un air de Funky/Metal très entraînant. Egalement, la partie Blues / Mid Tempo du show est très impressionnante même si l’on y voit David se laisser aller à son péché mignon : le plagiat. En effet, s’il est devenu un pilier du Hard Rock, ça n’est quand même pas sans critique de la part de ses pairs qui l’on souvent accusé de pomper ses références. Alors sur la fin d’un « Mylen Blues » ébouriffant, on le voit prendre des accents à la Robert Plant qui sont un peu gênants. Mais rendons-lui cette justice qu’il l’a toujours fait très bien et y a toujours ajouté son coup de patte perso. En tous cas, c’est le début du one man show de Doug qui nous assène un solo a capella de toute beauté qui n’est pas sans me rappeler le jeu de Steve Morse mais ça n’est pas une surprise de la part d’un gratteux aussi renommé. Par contre, les soli de batterie c’est comme les blagues, les meilleurs sont les plus courts. Alors celui de Tommy sur « Crying In The Rain » m’est apparu longuet avec en plus un passage pompé sur le regretté John Bonham (Moby Dick). Bon la perf est au rendez-vous avec en particulier tout un passage réalisé à mains nues mais je note qu’un énorme batteur comme Mike Portnoy n’a pas besoin de ce genre d’exercice pour se faire valoir et s’éclater. Aussi je trouve que beaucoup de batteurs devraient s’inspirer de cette façon d’être. Le beau David reprend la main et fait chanter à un public conquis « Il n’y a pas d’amour dans le cœur de la ville » mais encore une fois, il est incroyable de voir toutes les minettes avoir le cœur qui bat pour lui : quel charisme ce mec a ! La fin du concert est toujours aussi carrée et professionnelle. Le chant de David frise la perfection à tel point qu’il est permis de se demander si les overdubs n’y sont pas pour beaucoup mais peut-être suis-je mauvaise langue (quoique mes conquêtes ne s’en sont jamais plaintes sur ce sujet ). Toutes les mains se tendent pour un « Here I Go Again » qui donne des frissons. Le must est l’incontournable « Still Of The Night » le bien nommé qui termine cette magnifique soirée en donnant le regret de ne pas en avoir été !

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