Tom Poisson - Discographieseeders: 2
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Tom Poisson - Discographie (Size: 82.44 MB)
DescriptionTom Poisson - Discographie Artist...............: Tom Poisson Album................: Discographie Genre................: Chanson française Source...............: Internet Year.................: Discographie Ripper...............: Exact Audio Copy (Secure mode) & Asus CD-S520 Codec................: FhG Version..............: MPEG 1 Layer III Quality..............: CBR 192, (avg. bitrate: 192kbps) Channels.............: Stereo / 44100 hz Tags.................: , ID3 v2.3 Included.............: NFO --------------------------------------------------------------------- Tracklisting --------------------------------------------------------------------- 1. - Café [03:33] 2. - C'est l'vent [04:19] 3. - Chanson d'Adrien [03:17] 4. - Chanson pour Lolo [02:07] 5. - Chanson pour tout changer MSTR 02 [02:27] 6. - Défilé [02:22] 7. - Elisabeth Martin [02:56] 8. - La surprise [04:44] 9. - L'ami, la belle, le président [04:45] 10. - Le bal des cathéters [01:44] 11. - Le sculpteur [02:32] 12. - L'homme qui rêvait d'être une girafe. - Teaser [02:38] 13. - Mon ami sans voix [04:14] 14. - Mon Coeur qui Penche [03:44] 15. - Nos amours englouties [02:54] 16. - Pédalo [03:26] 17. - Trapéziste [03:03] 18. - Un manteau de toi [03:55] Playing Time.........: 58:48 Total Size...........: 82,43 MB --------------------------------------------------------------------- Tom Poisson - Bio Vous auriez pu croisez Tom Poisson, il y a dix ans, sillonnant la France à Chevaux et Charrette, jouant le soir en plein air Le Petit Monde de Georges Brassens ou La Double inconstance de Marivaux. C'est à cette époque qu'il rencontre ses futurs acolytes des Fouteurs de Joie, quintet poetico- burlesque explosif dans lequel il officie encore à ce jour. Comédien, chanteur, danseur à ses heures, il multiplie les expériences artistiques pendant dix ans. Récemment, il rend hommage à Nino Ferrer : The Nino's chantent Ferrer font plus de 200 concerts entre 2009 et 2012 notamment sur les scènes jeune public. S'il s'amuse à mélanger les genres, c'est à la chanson qu'il reste le plus attaché. Poisson aime fabriquer, il fait des chansons comme les gosses jouent au légo. En 2004, il réunit un bouquet de chansons acoustiques et séduit les critiques avec un Tom Poisson fait des chansons plein de candeur, bientôt suivi par un Tom Poisson fait des chansons - Tom-2. En 2008, Patrick Zelnick lui propose son label Naïve pour sortir les douze titres de Riche à Millions, un album produit à quatre mains avec Alexandre Léauthaud, sur lequel figure deux duos (avec Sanseverino et Clarika). L'album s'assorti d'une jolie tournée nationale de 80 dates. En septembre 2010, Fred Pallem signe pour Tom une réalisation « brute » qui mêle habilement les guitares folks aux guitares électriques. C'est sur Trapéziste, que Poisson délègue pour la première fois la réalisation de ses chansons, ouvrant son univers à des couleurs moins franco-françaises. En 2012, il écrit L'Homme qui rêvait d'être une girafe dans le but de collaborer avec les illustrateurs italiens Ale+Ale dont il apprécie le travail depuis quelques années. C'est aussi l'occasion pour Tom de s'essayer à une autre forme d'écriture et de mise en scène. public, des professionnels de la musique et des médias écrits ou audiovisuels. La douceur de ses mélodies, en français ou en anglais, est même remarquée au-delà de nos frontières nationales. L’été dernier, Onésia a en effet participé au tournage d’une grosse production bollywoodienne dans l’Oberland bernois, «Fever», réalisé par Rajeev Jhaveri et avec Gemma Atkinson et Rajeev Khandelwal dans les rôles principaux. Une preuve, si besoin était, de sa polyvalence…écho à la notre sur une musique BO de film style Vladimir Cosma entre légèreté et pincement au coeur. Niveau musical, toujours très ciselées, les mélodies du parisiens semblent parfois se perdre dans une technicité vocale comme sur « A quoi ça m’a servit » mais reste impressionante sur « Pete Best » où, maîtrisant pleinement ce stéréotype 50's, il réussit à nous emmener dans cet univers éclatant et pop. Multipliant les références aux Beatles, Benoît construit chaque titre dans une exigeance musicale rare. Bien que très travaillé et integrant des arrangements fourmillant d’idées (les choeurs sur « Pete Best » en sont un exemple flagrant), on ressent une certaine transparence dans cet album. A l’instar d’un Albin de la Simone, Benoît Carré pâtit de son manque certain de charisme et de sa voix finalement gentillette qui peut au fur et à mesure user. « Célibatorium » sonne donc le retour de Benoît Carré en solo, qui nous ouvre son univers pastel et joliment désuet. Entre pop exigeante et chanson française un peu lisse, le parisien nous dévoile sa musique douce amère dont on tombe rapidement sous le charme. Sharing Widget |
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