Sleeper.Cell.S02FRENCH.DVTV.XVID By SeBFuNiX

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(¯`·._.·[ Sleeper Cell ]·._.·'¯)



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Origine de la serie : : Américaine

Titre original : Sleeper Cell : American Terror

Saison : 2

Episodes : 18

Statut : terminée en 2006

Réalisateur : Ethan Reiff, Cyrus Voris en 2005

Acteurs : Michael Ealy, Oded Fehr

Genre : Drame, Action ,Terrorisme

Durée : 60

Date de diffusion : : 15 Septembre 2006







Plongez au coeur d'une cellule terroriste avec la 2ème saison inédite en exclusivité sur Torrent411. Darwyn est de retour !



Pas de répit pour l'agent fédéral Darwyn Al-Sayeed (Michael Ealy) ! Sorti finalement indemne de sa précédente et périlleuse mission, le héros est à nouveau sollicité par le FBI pour infiltrer une cellule dormante basée à Los Angeles. Une descente aux enfers semée d'embûches commence alors pour lutter contre la menace terroriste.



Après le succès de la première saison, la chaîne câblée américaine Showtime a décidé de donner une suite à la mini-série Sleeper Cell. Un nouveau face-à-face en perspective entre Michael Ealy, qui tient avec brio le rôle de l'agent infiltré, et Oded Fehr, dans celui du méchant ! A noter également la présence de Saïd Taghmaoui (acteur et scénariste français, qui a joué notamment dans La Haine) interprétant le personnage de Hamid dans quelques épisodes de cette deuxième saison.




Sleeper Cell : l'ennemi de l'intérieur



« Amis, voisins, maris... terroristes »

Cette phrase qui figure sur les affiches promo de la série résume à elle seule, le postulat de départ des scénaristes. Et si derrière ces images d'une parfaite intégration sociale se cachait un individu qui, en secret, oeuvre à votre destruction ?



Le thème des agents dormants a toujours été un sujet récurrent et sensible. Dans la paranoïa ambiante, les assimilations et amalgames faciles générées par la peur régissant une société américaine post-11 septembre, il trouve forcément un écho particulier. Récemment, dans cette même ville de Los Angeles où se situe Sleeper Cell, une autre série avait tenter d'aborder ce thème. Cela donnait un terrorisme familial, tombant dans la caricature d'une famille d'origine turque qui derrière les volets clos de sa maison banlieusarde préparait des attentats contre cette société où elle apparaissait intégrée. Cette vision de cellule dormante avait soulevé la polémique aux Etats-Unis, amenant la Fox à diffuser un message durant une pause publicitaire lors d'un épisode pour souligner que les musulmans américains condamnaient également le terrorisme. Que ces accusations d'encourager une certaine islamophobie aient été ou non justifiées, Sleeper Cell prend radicalement ses distances avec cette saison 4 de la série 24. Sa force est de se détacher de cette optique, le câble aidant probablement à la liberté de ton, pour proposer un traitement sans doute plus proche d' `Etat d'Urgence' (The Grid), voire de docu-fictions britanniques comme `The Hamburg Cell'.



Malgré ce traitement scénaristique moderne qui a subi et pris acte de 2001, ce n'est pas le 11 septembre qui vient à l'esprit du téléspectateur. La série était déjà en tournage en juillet 2005 lorsque les attentats de Londres eurent lieu. Contrairement à ceux de New York et de Madrid, où les terroristes venaient tous de pays étrangers, les quatre auteurs des attentats-suicides de Londres étaient des citoyens britanniques à part entière, issus de pays du Commonwealth et ayant toujours vécu au Royaume-Uni. Des terroristes dont leurs voisins après coup ne pouvaient concilier l'image qu'ils avaient de l'individu tranquille occupant la maison d'en face, aux images de désolation de bus éventrés au centre-ville de la capitale britannique.



C'est de cette peur que la série choisit de traiter. Avec le risque d'entretenir, voire d'attiser, la paranoïa ambiante ? Ce n'est pas un de ses objectifs. En effet, en prenant sur elle de se démarquer du réductionnisme trop souvent rencontré, la série fait oeuvre de pédagogie, dressant un état des lieux des sources et du terrorisme islamiste.



Par cet effort de réalisme et de nuance, Sleeper Cell est une série qui sort du lot et qui mérite à ce titre d`être vue. Le personnage principal, Darwyn Al-Fayeed, en constitue le fil conducteur, apparaissant en révélateur d'un monde d'amalgames et de raccourcis (I). Cependant, le parti pris de la série s'avère à double tranchant, louable d'un côté, mais ne manquant pas de susciter également des réserves (II).

I - Darwyn, fil conducteur et révélateur d'un monde d'amalgames



Le regard de Darwyn permet d'introduire une perspective particulière conférant à la série un véritable rôle pédagogique, tant au sein de l'Islam (A) que de la société américaine de façon plus générale (B).

A - Au sein de l'Islam



Le postulat de départ de la série, constamment réaffirmé, comme si les scénaristes craignaient de s'en écarter, est un refus revendiqué d'assimiler Islam et terrorisme. Cette volonté de différenciation s'exprime à différents niveaux.



En premier lieu, elle se retrouve dans le choix du héros de la série, un agent du FBI s`infiltrant au sein de la cellule, qui, surtout, est musulman croyant et pratiquant. Ces qualités synthétisent en une symbolique assumée le message de la série.



Au-delà de la simple portée symbolique, les scénaristes développent à partir de cette fondation des situations atypiques, utilisant le regard de Darwyn pour stigmatiser différents maux et balayer des préjugés tenaces. L'épisode le plus emblématique est « Scholar » (quatrième épisode de la saison 1). Les membres de la cellule vont assister au prêche d'un Imam Yéménite de passage à Los Angeles. La particularité du religieux est de prôner une interprétation très différente de l'Islam qui s'oppose ouvertement à celle sur laquelle les extrémistes se fondent pour revendiquer leurs actes. Le cheik n'hésite pas à faire du prosélytisme contre eux. Il a l'intention de délivrer une fatwa contre les personnes qui soi-disant se disent musulmans, comme les membres de la cellule dormante. Mais Farik, celui qui dirige les opérations à Los Angeles, a reçu comme instruction d'éliminer le religieux avant qu'il ne puisse mettre son projet à exécution. L'épisode tourne autour d'une opposition interne à l`Islam, insistant sur les différences, les oppositions, et ce pour mieux relayer le postulat de départ de la série et de différencier terrorisme et Islam.



La série pousse même la nuance jusqu'à introduire des nuances au sein même des groupements dit « terroristes ». Chacun a des intérêts propres, des motivations personnelles, au-delà du simple aspect religieux. Cet aspect est souligné dans l'affaire du jeune indonésien que Farik accuse -à tort- de l'avoir doublé dans la récupération de matériel pour préparer les attentats. On retrouve la nuance également auprès d'un autre jihadiste rencontré à Los Angeles. Ce dernier, ancien combattant auprès de Farik durant la guerre de Bosnie, s'il entraîne des individus pour les envoyer combattre les américains en Irak, condamne aussi le meurtre de civils innocents et ne se considère en guerre que contre les soldats de cette Amérique tant haïe.



La série s'efforce de démontrer, comme le résume Darwin à son agent de liaison au FBI, que « ce n'est pas seulement une guerre contre le terrorisme, c'est une guerre au sein de l'Islam. » Darwyn permet de mettre en perspective la situation tout en donnant au téléspectateur les moyens de comprendre cette mise en perspective. Témoin extérieur des évènements, l'incompréhension des autorités américaines ne nous apparaît alors que exacerbée.



La série permet d'ouvrir un second aspect dans son oeuvre pédagogique : la vision de l'Islam au sein de la société américaine.

B - Au sein de la société américaine



Malgré les avertissements et les injonctions de Darwyn, nous assistons aussi impuissant que lui aux tergiversations du FBI qui se refuse à prendre les mesures nécessaires pour sauver le cheik Yéménite des projets d'assassinat de Farik. Sa mort souligne pour la première fois dans la série le fossé existant entre Darwin et ses collègues. S'ils sont dans le même camp, la différence de perspective sur cette guerre contre le terrorisme apparaît soudain criante.



Instinctivement, le FBI se montre suspicieux envers tout religieux pratiquant et ne perçoit pas du tout les différents courants de croyance et d'interprétation qui peuvent se faire jour au sein de l`Islam. Or cette assimilation de l'ensemble sous ce terme finalement si générique d`Islam qui recouvre des vérités et des réalités si opposées, ne fait que mettre en exergue l'incompréhension des autorités devant la véritable portée de l'intégrisme et ses moyens et sources de développement.



Cette vue sans nuance ne s'exprime pas seulement auprès des officiels. Pour symboliser les graines insidieuses d'une islamologue rampante exacerbée depuis les attentats du 11 septembre auprès d'une certaine partie de la population américaine, la série utilise la rencontre de Darwyn avec le beau-frère d'une femme avec laquelle il se lie lors de sa mission d'infiltration. Dans ses paroles violentes, volontairement excessives et caricaturales, les scénaristes utilisent l'homme comme révélateur d'un comportement qu'ils condamnent en soulignant le ridicule des propos qu'il tient envers Darwyn, dont il ignore la qualité d'agent du FBI, un agent qui lutte justement bien plus qu`il peut l`imaginer contre ce qui suscite cette peur si marquée chez le beau-frère.



La série s'attaque également à la société américaine et ses ignorances, utilisant quelques scènes de pure pédagogie pour mettre à mal les préjugés. Un parfait exemple est une scène où un Sikh est violemment pris à parti par un individu, qui, se méprenant sur le port de son foulard, croit agresser un musulman. L'intervention de Christian différencie de façon drastique les deux religions entre lesquels on ne saurait ignorer les tensions. La série pointe avec ce passage les crimes haineux qui ont lieu envers la communauté Sikh américaine et qui se fondent sur cette assimilation couramment répandue, une ignorance qui souligne encore plus profondément l'absurdité de telles attaques contre n'importe quelle communauté religieuse, démontrant s'il en était besoin l'ignorance et le décalage de beaucoup d'individu par rapport à la réalité.



La série se veut par moment une photographie de la société américaine, mais pas seulement dans une approche strictement sociale. En effet, la tristement célèbre base militaire, reconvertie en prison, de Guantanamo est évoquée à plusieurs reprises. Zone de non droit, de non reconnaissance des prisonniers à qui sont conférés un statut ad hoc, elle y est dénoncée avec force. Les scénaristes choisissent de souligner la démagogie du raisonnement sur laquelle elle se fonde en mettant en lumière l'effet contre-productif extrême qu'elle peut générer. Est évoqué le cas d'un jeune Afghan, emprisonné par erreur dans ce lieu, il y découvrit la haine contre l'Amérique et plus encore l`extrémisme. Il symbolise l'échec de la politique de lutte contre le terrorisme de l'administration américaine, qui, dans son combat, crée finalement de nouveaux terroristes. Le destin tragique de ce jeune Afghan, que Darwyn essaye en vain d'extraire à ce monde qui s'est présenté à lui par défaut, accentue le sentiment de malaise et de gâchis du téléspectateur.



C'est donc par un traitement tout en nuance que la série choisit d'aborder la réalité du terrorisme islamique. Cependant, si cette recherche pédagogique fait la force de la série, elle en constitue également la faiblesse. En effet, cet aspect explique les réserves que le téléspectateur peut poser envers la série.

II - Les réserves soulevées face au parti pris de la série



La série peut s'avérer difficile à regarder pour le téléspectateur, sur deux plans sur lesquels elle souleva une polémique aux Etats-Unis : le risque d`humanisation des terroristes (A) et l`utilisation d`une violence sans garde fou (B).

A - Le risque d'humanisation des terroristes



Toute la série tourne autour des membres d'une cellule terroriste dormante, dans la préparation d'un attentat, mais également dans la vie de tous les jours. C'est cette approche qui peut rebuter. Veut-on pouvoir mettre un visage sur des individus qui s'apprêtent à commettre l'irréparable, l'impardonnable ? Veut-on vraiment connaître ces gens, voir exposer devant nous leurs réelles motivations ? A vouloir nous introduire dans la vie de personnages qui symbolisent une des peurs les plus vivaces et proches de ce début de XXIème siècle, n'y-a-t-il pas un risque d'humaniser l'inhumain ? Cette interrogation avait introduit la polémique aux Etats-Unis avant la diffusion de la série. Un sujet aussi sensible ne pouvait laisser indifférent. Cependant, une fois la série visionnée, il convient de relativiser ces craintes initiales. En effet, dans leur fanatisme, leur froide détermination et parfois leurs affirmations proprement abjectes, le téléspectateur ne crée aucun lien avec les personnages terroristes. Il ne ressent que mépris face à la bêtise brutale de Christian. Il ne parvient pas à comprendre comme Tommy, un américain issu d'une famille d'universitaires fortunés, peut se laisser aveugler par un extrémisme si primaire, par tant d`inculture. Il enregistre l'information du massacre de la famille d'Ilja en Bosnie, mais la froide détermination de ce dernier écarte sans hésitation toute potentielle empathie.



Si l'humanisation via la personnalisation des terroristes semble écarter, un autre aspect de la série peut provoquer une certaine gêne chez le téléspectateur. Un malaise auquel le téléspectateur est très vite confronté, dès le premier épisode de la série. Un des terroristes organise une petite fête pour l'anniversaire de sa fille. Il a invité des voisins, des amis et parmi ces « amis », les autres membres de la

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