Bernard Léchot - Ombres (1992)seeders: 0
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Bernard Léchot - Ombres (1992) (Size: 67.82 MB)
DescriptionBernard Léchot - Ombres (1992) En 1992, le disque «Ombres» signe la fin du groupe Léchot-Pillard et est publié sous le seul nom de Bernard Léchot. Laurent Poget en assure la direction artistique. Pascal Auberson chante sur «Par ancêtre interposé» et Gisèle Ratzé est l'autre voix du duo «Whisky». 01. Le grand jeu 02. Get Out in the City 03. Whisky (duo avec Gisèle Ratzé) 04. Downtown by Night 05. Grain de ta peau 06. Des ombres et des nuages 07. Cicatrices 08. Soleil cassé 09. Décibelle de nuit 10. Par ancêtre interposé (avec Pascal Auberson) 11. Rien n’a changé 12. Le grand jeu (instrumental) Guitares: François Hurter, Laurent Poget, Bernard Léchot Claviers: Yves Pillard, Lee Maddeford Programmations: Bernard Léchot, Laurent Poget Basse: Stéphane Tornare, Andy Duggan, Laurent Poget Batterie: Olivier Martin, François Bauer Saxophone: Serge Zaugg Chœurs: Yves Pillard, Laurent Poget, Isabelle Jeanrichard Voix invitées: Gisèle Ratzé, Pascal Auberson Direction musicale: Laurent Poget Enregistré au Studio Sixty, Lausanne, par Peter Weber assisté de Bernard Amaudruz Photos: Didier Varrin (au Studio Photoso, Walery Osowiecki) Graphisme: RDPB & Philippe Varrin Presse Chevelure noire, habits de lumière noirs, chansons teintées de noir: le noir est omniprésent chez Bernard Léchot, qui écrit toujours ses propres textes et parfois aussi ses musiques, assez rock. ‘Ombres’, c’est un noir d’atmosphère, c’est souvent la nuit, et très souvent une ville. Et c’est vivant, une ville, la nuit (…) Et quand ce n’est pas la nuit, c’est la brume écossaise, celle qui bruine sur ce nectar qu’on appelle ‘whisky’, c’est la passion de la lande décrite dans ‘Des ombres et des nuages’. Ou c’est le blues d’une Noire contrainte à revivre ses racines ‘Par ancêtre interposé’. (La Suisse) Ombres, premier album en solitaire de Bernard Léchot, est fait de douze chansons, dans lesquelles poésie et rock semblent ne faire qu’un. Sa belle voix met en valeur des textes qui révèlent un romantisme actuel. (Tribune de Genève) De sa voix bouleversante d’artiste debout, Léchot parle, avise, prévient, raisonne, chante pour éructer de mille images passionnantes qui se heurtent et se bousculent pêle-mêle: une infinie tendresse, beaucoup d’espoir en fin de compte et bien peu d’amertume (…) La musique se développe un peu à la manière d’un récit, chaque titre comme un chapitre. Musique onirique, imageante, faite de l’agencement d’une multitude de petites cellules. Il y a dans ce recueil une pensée structurante, une sorte de concept-album qui s’articule, comme la bande sonore d’un film imaginaire… (Construire) Bernard Léchot apprivoise le mot, l’embellit et jongle. Des notes, des sentiments qui s’accumulent. Magie de la poésie mise en musique. Pas toujours simple, mais efficace. Textes à l’ambiance austère que l’on adopte à l’énoncé. L’effet est immédiat, l’image traverse l’esprit alors que le rock doux accentue la vision. Un long boulevard embrumé, propice à la découverte, à l’imagination (...) C’est la nuit douce-amère qui hante nos pensées à l’écoute de son album ‘Ombres’, puis tout s’éclaircit… A suivre de plus près. (L’Express) Fidèle à lui-même, Bernard Léchot offre un rock raffiné, savamment poivré, mi-tendre, mi-sauvage. Zeste d’exotisme, mystère, poésie, douce ironie et mélancolie, histoires de nanas, tombée de whisky pour noyer les larmes qui ‘lardassent’ les souvenirs, petites meurtrissures, la vie, quoi. (Le Démocrate) Sharing Widget |